Par
Charles-Théophile
FERET
Editions
DES CAHIERS LITTÉRAIRES
2, rue du Panorama
CAUDÉRAN-BORDEAUX
1923
Poésie : | |
LA NORMANDIE EXALTÉE, deuxième édition,entièrement refondue. Tirage à 400 exempl.sur papier de luxe, chez Rey, 8, boulevarddes Italiens, Paris | 12 fr. |
LE VERGER DES MUSES, tirage à 300 exempl.chez Dumont à Paris | Épuisé |
L’ARC D’ULYSSE, tirage à 500 exemplaires, àBelles Lettres, 89, boulevard Exelmans, Paris | 6 fr. 50 |
LES COURONNES, tirage à 300 exemplaires, àBelles Lettres | 10 fr. |
LE BOURDEAU DES NEUF PUCELLES, auxCahiers Littéraires, 2, rue du Panorama,Caudéran-Bordeaux | |
(Tous les autres recueils épuisés) | |
Théâtre : | |
MAITRE FRANÇOIS VILLON, 5 actes en prose. | Épuisé |
UN IMPROMPTU CHEZ LE DUC DE CHOISEUL,1 acte en prose et vers, non mis dans le commerce. | |
Roman : | |
LA RÉINCARNATION DE CLAUDE LE PETIT,à Belles Lettres | 6 fr. 75 |
LE TIROIR AUX POLICHINELLES (souspresse), à Belles Lettres | |
Critique : | |
Tous les ouvrages de critique épuisés, exceptéchez Garnier frères, à Paris : l’AnthologieCritique des Poètes Normand de 1900 à 1920,avec collaboration de Raymond Postal | 15 fr. |
Le Bourdeau des Neuf Pucelles
Empruntant en partie à Claude Le Petit le titre dece livre, le moins que je puisse faire c’est de le luidédier, et de rajeunir la mémoire de sa mésaventure.Il mérita d’être appelé « Théophile le jeune » nonseulement parce qu’il fut le successeur de Théophilede Viau dans la littérature libertine, non seulement,comme le dit Frédéric Lachèvre, « parce qu’il a réaliséle type de l’impie et de l’athéiste dépeint 35 ansauparavant par le père Garasse, » mais aussi pour untalent égal à celui de son maître, et certainement ilserait aujourd’hui classé parmi les grands poètes dusiècle de Louis XIV, s’il n’avait été brûlé à 23 ans.Que resterait-il des meilleurs, si leur carrière avaitété interrompue au milieu de leur cinquième lustre ?Les plus belles ballades de Villon datent de « l’antrentième de son âge ». Et l’on peut assurer que, sil’arrêt des juges de Mesmes et du Tillet a, sans pitiémais non sans raisons, sous un gouvernement fort,défendu l’ordre religieux et monarchique, il a privéles lettres françaises d’un grand écrivain, que l’expériencede la vie eût certainement amendé. Il a bâtiun « clapier », il eût élevé un temple.
Voici des vers de Claude sur un de ses ouvrages :
A moi-même, sur mon livre de « L’Heure duBerger » :
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